Face aux nombreux conseils et méthodes que l’on peut entendre, il y a de quoi se perdre et c’est comme cela que l’on prend de mauvaises habitudes. Pourtant le rééquilibrage alimentaire c’est tout simple !
Il convient de partir de votre alimentation et de votre mode de vie afin de l’adapter dans le but de prendre de nouvelles habitudes alimentaires sur le long terme.
Il n’y a pas d’aliment interdit, pas de régime, pas de privation ! Manger mieux, pas moins !
Que ce soit pour perdre du poids, en prendre ou améliorer sa qualité de vie en prévention du développement de pathologies chroniques, cela passe par le rééquilibrage alimentaire !
Manger équilibré : ça s'apprend !
Apprendre à gérer son équilibre alimentaire au quotidien demande des connaissances en nutrition et la prise en compte d’autres facteurs budgétaires mais aussi comportementaux. Fringales, grignotages, envies de sucre, perte de sensation de satiété…Tous ces troubles liés aux états psychiques et émotionnels entraînent souvent un déséquilibre métabolique.
En consultation, je vous apprendrai comment retrouver votre équilibre alimentaire tout en concentrant mon approche sur vous et vos ressentis.
Nous pourrons aborder la cuisine, l’élaboration de menus, des exemples de journées « type », l’étiquetage alimentaire, mais aussi je peux vous proposer un soutien par les plantes, la micro-nutrition et d’autres solutions de ma boîte à outils de Diététicienne - Naturopathe…
La prévention santé passe par une alimentation équilibrée
L’alimentation déséquilibrée participe au développement de nombreuses pathologies : maladies cardiovasculaires, diabète de type 2, cancers.
- En 2020, près d’un Français sur deux (47,3%) est en situation de surpoids.
- 17% des Français sont en situation d’obésité (dont 6% des enfants âgés de 8 à 17 ans).
- L’obésité massive concerne désormais plus d’un million de Français (sur 67,5 millions).
Les raisons de l’accroissement de l’obésité sont, elles, liées :
– à la réduction des efforts et des activités physiques (prédominance de la voiture, loisirs passifs, escalators, ascenseurs…), qui génèrent la disparition du muscle au profit de la graisse ;
– au développement de la « malbouffe », surproduction de nourriture à forte densité calorique ou aux produits dits ultra-transformés enrichis en conservateurs ;
– au déficit de temps disponible pour préparer des repas qui pousse à consommer des plats tout prêts plutôt que des produits alimentaires intermédiaires ;
– des points d’approvisionnement en nourriture : distributeurs, snacks, sandwicheries, fast-food, nourriture disponible dans la rue, les stations de métro, les cinémas, au travail…
– à la facilitation de la consommation de nourriture chez soi : nourriture à portée de main, facile et rapide (plat prêt en 2 minutes sans avoir à laver, éplucher, couper les légumes et cuire chaque ingrédient d’une recette) ;
– aux graisses cachées et boissons sucrées : présence dans les produits industriels de nombreux additifs et exhausteurs de goût jouant sur les plaisirs gustatifs les plus primaires comme le sucre, le sel, les graisses ;
– aux publicités et diffusion de spots sur de nombreux supports médiatiques, incitant à manger plus.
Dès le plus jeune âge, il est primordial de connaitre les bons réflexes alimentaires pour rester en bonne santé tout au long de sa vie.
Il est possible de consulter un diététicien à tout âge pour se former à la nutrition et devenir autonome à tous les stades de la vie : enfants, adolescents, adultes, personnes âgées, femmes enceintes/allaitantes.
Par ailleurs, de plus en plus de français décident d’arrêter de consommer de la viande, le lait, le sucre, d’autres deviennent végétariens, végétaliens voire vegans. Cela parait simple au premier abord puisqu’il « suffit » de supprimer les aliments d’origine animalier par exemple.
Mais par quoi les remplacer pour couvrir ses besoins en micronutriments et en quelle quantité ?
Ne vous lancez pas dans cette transition sans accompagnement, vous risquez de présenter des carences alimentaires, de la fatigue, des troubles digestifs, une perte ou une prise de poids.
Concernant les « régimes amaigrissants/amincissants » dits sauvages (sans suivi médical réel), un rapport de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) juge cette pratique à risque.
L'Anses a été saisie par le ministère chargé de la santé pour évaluer les risques qu'engendrent ces pratiques. L'évaluation conduite s'inscrit dans le cadre global de la problématique de « l'image du corps », prévue par le Programme National Nutrition Santé (PNNS 2 : 2006-2010) et toujours d’actualité dans le PNNS 4 de 2019-2023 (objectif 14, action 33).
En lien, le dit rapport de 2011 : https://www.anses.fr/fr/content/r%C3%A9gimes-amaigrissants-des-pratiques-%C3%A0-risque
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